Véronique Pettit Laforet
La « neo » nouvelle figuration personnelle de Véronique Pettit Laforet. La peinture « Véroniquienne ».
Elle ne touche la toile que superficiellement avec les couleurs, elle utilise l’acrylique presque comme l’aquarelle – un peu comme le « colorfield » (mais sans abstraction) ; peut-être aussi dans la ligne de Hockney et Golucho. Elle ne vient pas de l’abstraction, non plus de la figuration narrative. VPL fait plutôt une recherche d’elle-même, des amis, de la famille. Elle peint ce qu’elle a dans la tête. Obsession, nécessité, compulsion.
deux dessins 2015
dessins: « sieste » et « de tâche et de sang »
texte: Christa Blenk